UN LIVRE A LA LOUPE

Lumière du Monde

Les problèmes sociaux, moraux et politiques d’aujourd’hui diffèrent peu de ceux qui agitaient les jours où Jésus vivait auprès de nous. La densité importante de la population et les techniques de communication qui, par l’accumulation d’informations, écrasent l’esprit de l’homme, engendrent l’épuisement.

Tout est fait pour trouver la solution des problèmes extérieurs tandis que l’homme continue d’être seul, en marche vers l’inconnu.

En tenant compte de tout cela, ce livre, qui raconte et reprend les messages que le Seigneur narrait à ses disciples, aux personnes simples et affligées du passé, est une invitation, une tentative de tisser un lien avec ceux qui souffrent, en leur présentant Jésus, le Bienfaiteur inconditionnel, qui nous attend encore et toujours.

Il n’ajoute rien à ce qui a déjà été dit. Il murmure en une musique fraternelle les expressions encore présentes qui ont imprégné les siècles. Elles sont désormais représentées par la pensée de Kardec chargée d’ériger le temple nouveau de la fraternité universelle en délimitant les frontières du Royaume de Dieu, infini comme l’univers qui pourtant commence dans le cœur, dans l’âme de l’homme affligé, à toutes les époques.

Divaldo Pereira Franco est un médium et conférencier parmi les plus connus, un fidèle messager qui propage la parole du Christ à travers les leçons d’espoir et d’apaisement de la philosophie spirite.

Sous l’orientation de son guide Joanna de Ângelis, il a écrit par la psychographie plus de 250 livres, dictés par différents Esprits. Plusieurs de ces ouvrages ont déjà été traduits dans d’autres langues afin d’amener la lumière de l’Évangile à tous les continents qui ont soif de paix et d’amour.

Divaldo Franco est aussi un grand prêcheur de la Paix, toujours proche des personnes les plus humbles, une foule qui remplit les places publiques afin d’écouter sa parole, une véritable invitation à combattre la violence en cherchant sa propre pacification.

En 1952, avec son fidèle ami Nilson de Souza Pereira, il fonde à Salvador de Bahia, dans le Nordeste du Brésil, la Mansâo do Caminho [La maison du chemin] une oeuvre de bienfaisance dont le travail remarquable apporte une aide à des milliers de personnes démunies et suscite admiration et respect dans le monde entier.

Amélia Augusta do Sacramento Rodrigues est née le 26 mai 1861 à Oliveira dos Campinhos, un lieu-dit situé dans la ville de Santo Amaro, dans l’État de Bahia.

Elle se désincarne à Salvador le 22 août 1926.

Elle fut une éducatrice, une poétesse, une dramaturge et une écrivaine admirable, qui honore non seulement les lettres de l’État de Bahia, mais aussi la littérature occidentale, comme nous le dit si bien Pedro Calmon: « … On peut inclure dans la liste des auteurs occidentaux le nom d’Amélia Rodrigues qui était une professeure et une poétesse inspirée, peut-être la plus grande après Amélia de Castro Fonseca. »

Amélia Rodrigues était une catholique pratiquante. Touchée par son esprit sensible et noble, Joanna de Ângelis l’invita dans le monde spirituel à venir rejoindre avec d’autres serviteurs du Christ les rangs du Consolateur en raison de ses capacités spirituelles élevées et de tout ce qu’elle a réalisé quand elle était incarnée.